[OS MCFLY] Le rêve d'Alicia

Elle se sentait déboussolée. Elle n’avait aucune idée de qui elle était. Elle ne savait pas qui elle voulait devenir aussi. Elle n’aimais pas les rencontres avec la famille éloignée parce qu’on lui sortait toujours les mêmes phrases du genre si les études allait bien, si elle avait un petit copain, que la première fois qu’on l’avais vu elle était haute comme 3 pommes, qu’est-ce qu’elle voulait devenir, et diantre qu’elle ressemblait à son père. Elle n’avait qu’envie d’hurler : « Je ne sais pas qui je suis! Et vous vous en foutez. Et non! Je n’ai pas de petit ami, vous avez vu de quoi j’ai l’air. De mon père! ». Et c’était bien vrai, son père était plutôt du genre à ne pas trop se coiffer le matin, et d’oublier de se raser la barbe. Il travaillait dans un bureau d’architecte, mais attention, ce n’était pas lui l’architecte. Il avait toujours rêvé de gloire et de célébrité, mais la seule chose dont il se ventait était les bons résultats de sa fille à l’école et de son apparition quand il avait quinze ans à La roue de Fortune. Enfin, elle n’avait pas de barbe mais était une rêveuse loser, qui n’attirait jamais l’attention des autres et allait finir par trouver des contrats pour une entreprise d’architecture.

Bref, Alicia ne savait pas qui elle était. Ce qui était bien normal à en croire sa tante Paula, d’être perdue à son âge. Quatorze ans, l’âge où l’on est sensé avoir du plaisir avec ses amis, de faire la fête le samedi soir, et non d’aller voir les tantes de son père. Elle n’y voyait qu’un seul avantage à rendre visite à la parenté, c’était Dougie. Dougie était le demi-frère de sa cousine éloignée, Magdalena. Il était beau comme Apollon. Il avait autant de charisme que le soleil quand il se pointe après 10 jours de pluie. Il était drôle et intelligent en plus. Et il avait son âge. Mais, jamais il n’accordait d’attention à la pauvre petite brunette. Mais elle faisait des efforts pour parler à Magdalena car, en restant avec elle, Dougie n’était pas loin et elle pouvait l’épier et rêvasser à lui jusqu’à leur prochaine rencontre. Non que Magdalena n’était pas intéressante, seulement la seule chose qui l’intéressait était ses ongles fraîchement faits, le nouveau magazine et Oh comment Alicia avait besoin d’aller à son coiffeur, car il était trop gentil.
Elle se disait en elle-même que ce soir allait être le soir où elle allait avoir une conversation avec Dougie. Cela faisait plus de deux ans qu’ils se connaissaient et les seuls choses qu’ils s’étaient dit était les marques de politesse. Donc, ce soir s’allait être le grand soir. Elle s’avançais vers la table où il était assis entrain de parler avec ses cousins Brandon et Ricky puis alla s’assoir à côté de Brandon. Si elle intégrait leur conversation, peut-être que Dougie et elle finirait par se parler et qu’ensuite, ils se parleraient seul à seul, et enfin le baiser tant attendue…Non! Elle ne ferait jamais ça. Elle était une fille responsable et elle devait apprivoiser son esprit qui avait tendance à être dans les nuages. Donc, elle se mit à parler jeux vidéo avec Brandon, Ricky et Dougie. C’était facile comme sujet car ayant été élevée tout seul avec son père, elle avait souvent jouée passée le temps de sa vie non palpitante à défier son père à la console. Puis finalement Dougie se tanna et partit. Elle ne pouvait pas le suivre- pas tout de suite en tout cas- sinon, ses cousins auraient su qu’elle en pinçait pour Dougie. Donc, elle continua a parlé du nouveau Halo 3 pendant dix bonnes minutes puis quitta la table prétextant avoir soif. En fait, elle se dirigeait vers le comptoir où il y avait les boissons et…Dougie.

Alicia : Alors, comme ça, tu t’intéresses aux jeux vidéo?
Dougie : Non, pas tant que ça.
Merde, elle avait foirée.
Alicia : Ah… Hum… Alors tu te plais à ton école?
Et là, elle avait l’air d’une vieille tante. Beaucoup mieux. Elle s’améliorait.
Dougie : Regarde, Alicia, c’est ça?, si tu veux qu’on parle, éloignons-nous du comptoir à jus.

Il l’amena dans sa chambre et ferma la porte. Et ils se mirent à parler, à parler, toute la soirée. Et vers 11h. Elle avait l’impression qu’elle le connaissait depuis toujours. Et elle l’aimait encore plus. Et alors Dougie se rapprocha d’elle. Et il lui proposa alors un jeu. Conséquence ou Conséquence. Ils devaient choisir entre les deux conséquences que l’autre proposait.
Alicia : Alors je commence. Parce que c’était ton idée, donc tu fais la conséquence en premier
Dougie : Mais…
Alicia : Non il n’y a pas de mais qui tienne. Donc soit tu te lèves et tu fais la poule. Ou bien tu me tiens plus serré contre toi.
Dougie la serra plus fort et ne la desserra point.
Dougie : Donc, maintenant à moi. Soit tu me donne sur baiser sur la main, soit tu m’en donnes un sur le cou.
Et Alicia, elle choisit le cou, car c’était plus proche.
Alicia : Donc, soit tu m’embrasses dans le cou, ou sur la joue.
Et il prit le choix de la joue.
Dougie : Soit tu m’embrasses sur les lèvres, ou tu m’embrasses sur la joue.

Et, étant un peu gênée, pris la joue. Mais comme elle était pour s’éloigner, Dougie lui pris le visage entre ses deux mains, et l’embrassas doucement les lèvres. Puis, elle lui rendit son baiser. Et lui, il la couvrait de baiser un peu partout dans le visage. Puis ils se ré-embrassèrent sur les lèvres, puis Dougie descendit dans son cou, et ensuite la poitrine.
Alicia : Et c’était rendue à qui le tour?

Dougie : Je ne sais pas.

Il embrassa sa nuque. Alicia avait enfin l’impression de savoir qui elle était. Elle ne se posait plus de questions. Elle était heureuse. Elle en pensait plus à sa mère, qu’elle n’avait jamais connue. Elle ne pensait plus à l’avenir. Elle ne pensait qu’à ce moment, si merveilleux. Il en leva son T-Shirt et celui d’Alicia aussi.

Dougie : N’es pas peur.
Alicia : Attends. C’est mon premier baiser. Et donc, ma première fois. S’il-te-plait, va pas trop vite.
Dougie : Non regarde, fais-moi confiance.
Alicia : Non, Dougie j’aimerais mieux que…

Et Dougie l’embrassa. Ses soucis s’envolèrent d’un seul coup. Puis elle se ralongea sur le lit, et regarda Dougie. Puis, elle se retourna, elle ne voulait pas faire ça. Pas maintenant, pas si vite.

Dougie : Mais, qu’est-ce que tu fais?
Alicia : Dougie, je ne veux pas.
Dougie : Mais allez, je te promets que tout ira bien.
Alicia : Non Dougie, je ne veux pas.
Et Dougie lui pris les bras et les maintenait contre le lit.
Dougie : Si on ne peut pas baiser, alors, j’ai besoin de quelque chose.
Alicia : Mais Dougie, je ne veux pas. Une autre fois.
Dougie se mit à toucher les seins d’Alicia. Elle se débattait quand son père apparu dans la chambre.
Père : Alicia, je t’attends dans la voiture.

Alicia embrassa donc Dougie et partit. Bonjour les soucis, au revoir le paradis!

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C'est mon premier OS, donc soyez gentilles.